Frensh glossary of printing
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Terme | Définition |
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3D (3 dimensions) |
Utilisé pour définir les images de synthèse défilant à l’écran, parce qu'elles donnent l’illusion du relief. |
5S |
Voir Keisen |
À demi-ton |
La reproduction, à l’aide d’un négatif tramé, des détails et des grades de tons dans des gradations différentes d’une densité claire ou obscure. |
À maintenir |
Indication du correcteur d'épreuves, inscrite en marge, signifiant qu'on ne doit pas tenir compte de la correction demandée. |
À-côté |
Durant la finition : les marges coupées des feuilles d’imprimerie. |
A-Plat |
Expression employée pour désigner un tirage tel qu'il sort de machine, sans façonnage. |
AACR2 (Anglo-American cataloguing rules |
Les normes de catalogage des bibliothécaires-documentalistes anglo-saxons. |
Abaque |
Graphique permettant d'effectuer rapidement certains calculs (poids de papier, réduction ou agrandissement de documents, calibrage, mise en pages, etc.). |
Abonnement Internet |
Contrat passé avec un fournisseur d'accès aux sites Internet. Le montant de l'abonnement mensuel est lié au nombre d'heures de connexion et aux services fournis. Il existe aussi des abonnements gratuits. |
Abréviation |
Retranchement conventionnel de certaines lettres dans un ou plusieurs mots à la suite. Généralement ne subsistent que les initiales d'un groupe de mots. Exemple H.E.C pour Hautes Études Commerciales. Les principales règles de composition des abréviations sont contenues dans le "code typographique". |
Absolu Adresse absolue |
adresse dont la valeur ne dépend d’aucune autre (contraire : relative). |
Absorbant |
Se dit d'un support qui "boit" une partie de l'encre facilitant son séchage et sa fixation (le papier offset est absorbant, le papier sulfurisé ne l'est pas). |
Absorption (Papier) |
Propriété du papier de retenir les liquides ou les gaz qui entrent en contact avec lui. (Optique) Suppression partielle de la lumière à travers un matériel transparent ou translucide. |
Accent tonique, prime |
Un accent qui indique sur quelle syllabe l’intonation tombe. |
Accentuation |
On attribue l'invention des accents au grammairien Aristophane de Byzance qui vivait en Égypte deux cents ans avant notre ère. Les Romains, dès le temps d'Auguste, firent d'abord usage de l'accent aigu et de l'accent grave, mais seulement pour distinguer les mots d'orthographe semblable. Les écrivains français paraissent avoir commencé à se servir régulièrement des accents durant les premières années du XVIe siècle. L'imprimeur parisien Geoffroy Tory créa dès 1525 les accents, la cédille et l'apostrophe, son premier livre avec ses nouveautés parut le 7 juin de l'année 1533. |